Le DDV, le journal en ligne de la LICRA dirigé par Emmanuel Debono vient de mettre en ligne un article que j’ai consacré à un problème qui se pose de longue date en Bretagne et qui est constamment passé sous silence, à savoir la réécriture de l’histoire consistant à minimiser les faits de collaboration et l’antisémitisme du mouvement nationaliste breton issu de Breiz Atao.
Je m’emploie à étudier un cas précis, particulièrement probant, je pense, puisque, pour avoir osé traduire des textes antisémites de Roparz Hemon, Xavier de Langlais, Youenn Drezen et alii, je suis traitée d’ « antiyoudomicrologophile », à savoir amatrice de microscopiques petites phrases antisémites disséminées dans l’innocente presse nationaliste bretonne subventionnée par les services de propagande nazis.
Ce n’est, bien sûr, qu’un exemple parmi tant d’autres mais il m’a semblé intéressant de décrypter à partir d’un exemple précis la méthode employée par ces militants.
Cet article s’inscrit, bien sûr, dans la continuité du travail que j’ai commencé ici.
N’hésitez pas à le partager.