Bizarre de penser que voici l’Assomption passée et, pour la première fois, le livre qui évoque ces étés d’enfance est en vente alors que les derniers vestiges de ce qui était naguère le plus haut moment de l’année en haute Cornouaille se sont dispersés avec les cendres du brasier sur la colline.
Bizarre de penser que les vestiges des ces images d’enfance semblent eux-mêmes vestiges de temps qui dans quelques années seront abolis comme issus d’une histoire étrange…
Et que ce qui semblait immuable s’est défait en si peu d’années comme la cendre s’envole au vent…
J’ai du moins rédigé une page sur ce livre peut-être lui aussi difficile à comprendre, et je me prépare maintenant à descendre vers l’automne avec Brumaire qui doit être donné le 1er septembre à Burthulet en clôture de cette saison des Lieux mouvants.