Adieu, la vieille année…

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Bonjour, l’année nouvelle ! 

Au cours de l’année passée, j’ai publié deux volumes de la collection Coquelicot magnifiquement illustrés par Pierre Favreau et qui sont parus au moment même où toutes les librairies fermaient… 

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…Puis, avec André Markowicz, la traduction de La Fille du capitaine qui semble avoir aussitôt disparu…

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…Encore avec André Markowicz, Le Maître et Marguerite, qui nous a valu un nombre stupéfiant d’articles élogieux mais toutes les rencontres avec le public ont été annulées par le deuxième confinement…

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Les Contes de Bretagne semblaient voués à disparaître puisque leur parution a correspondu avec le début du deuxième confinement mais, miracle dû aux lecteurs des éditions Mesures, le tirage est en voie d’épuisement…

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Armand Robin ou le mythe du Poète commence tout juste son difficile chemin dans les broussailles de la vieille année…. 

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L’année nouvelle commence par un article plein de bienveillance sur ma dernière traduction d’un album de de Sendak — un album paru en 2019 car le volume prêt à paraître en 2020 a été annulé au dernier moment par l’agent de Sendak au motif que l’on venait de retrouver un album original dont les couleurs étaient différentes de celles qui étaient jusqu’alors imposées : à l’éditeur français de refaire sa maquette… Ainsi commençait l’année climatérique. Nous étions loin de nous douter de ce qui nous attendait.

Et j’allais oublier le septième et dernier album des Mistoufles, mis en suspens au moment où il devait être enregistré… Puisse-t-il voir le jour en 2021…

Vive la nouvelle année !

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2 réponses à Adieu, la vieille année…

  1. Joséphine dit :

    Bonjour,
    je viens d’achever les contes de Bretagne. Je vous remercie pour la grâce de ces moments, je n’ai pas encore écouté les enregistrements, mais il me venait naturellement de les lire à haute voix et plusieurs fois, j’ai même interpelé mon entourage qui a été charmé de m’écouter.
    Toute la poésie du conte, frère du rêve, cette fluidité, cette évidence qui cependant nous surprend à chaque mot, nous déroute, une parole claire et distincte, mais tout autant charnelle et enchantée.
    Et aussi, bonne année !

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