Là, j’ai juste choisi de faire entendre un tout petit bout de ce que Robin appelle « la remière moallaka d’Imroulqais », extrait de Poésie sans passeport — j’aurais préféré un extrait des Douze de Blok ou d’un poème d’André Ady lu en hongrois par Szylady avec la voix de Jean Négroni revenant et redisant le poème, mais c’était trop long et sans doute trop bizarre. Mieux valait tabler sur la bizarrerie absolue et la scansion de l’arabe — je ne peux pas entendre ce passage sans le trouver splendide et ces quelques secondes m’ont semblé pouvoir suffire.
Éditer Robin était un combat, là encore, et un combat d’ailleurs toujours aussi usant : preuve en est, l’impossibilité où je suis encore de publier ses textes, et notamment Poésie sans passeport, comme il le faudrait et le problème de plagiat que je dois encore affronter…