Le 16 février à 15 heures à la Médiathèque Pablo Néruda de Malakoff, à l’occasion de la mise en scène des Âmes mortes de Gogol par Anton Kouznetsov, rencontre au sujet de la traduction avec André Markowicz.
La mise en scène est extraordinaire, Anton Kouznetsov est un metteur non moins extraordinaire et la traduction est très bien aussi mais je n’y suis pour rien.
Je suis quand même contente d’être invitée à Malakoff où j’ai commencé ma vie d’étudiante à la Sorbonne dans un garde-meuble placé en face d’un atelier de carrosserie et je n’éprouve plus aucune terreur à l’idée de me rapprocher de la rue Paul-Vaillant Couturier. Au contraire, grâce à Gogol (et même grâce au fait que je ne l’ai pas traduit) j’attends avec impatience de faire un pèlerinage en ces lieux qu’il aurait pu hanter.